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Cube













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Cube
Réalisé par Vincenzo Natali

Cube, est le huis-clot goro-anticipation du réalisateur canadien Vincenzo Natali: dans un futur proche, un groupe de personnes se retrouve enfermé, sans savoir pourquoi, dans un cube formé de salles cubiques (!!) dont certaines sont piégées. Bien que les dés semblent jetés, le petit groupe va donc tenter de s'évader "en direct" pendant les 90mn du film.

Si la scène d'ouverture est, à l'image du prémice du film, forte, elle tourne rapidement en une exécution du personnage, mais aussi du spectateur. Car, Cube réussit à faire aussi fort qu'un Chapeau Melon ou Snake Eye, en nous plongeant dans un navet de première (non je ne parle pas du magasine), dé la fin du générique.

Et celà, vous le devez à des acteurs et dialogues insupportables, qui font passer les clichés du film pour un pur enchantement. On se croirait tombé au mileu des répétitions d'une classe d'acteurs débutants. Si l'ensemble des protagonistes jouent à l'unisson de la nulité, la palme revient au personnage principal incarné par Maurice Dean Wint (retenez ce nom) qui outre sa ressemblance avec le comique français Dieudonné joue avec conviction de la même manière que le comique quand il interprète son personnage de caricature. C'est en voyant Maurice Dean Wint jouer que vous prenez tout à coup conscience du talent de Keanu Reeves. Quant aux dialogues, citons le flic incarné par Maurice: "c'est mon boulot de flic de lire les gens comme des rayons x".

Quant au film en lui même, vous serez heureux de savoir que le groupe de prisonniers est constitué d'un groupe de spécialistes, tout comme L'Agence tout Risque, avec son roi de l'évasion, son intellectuel, son homme fort.. . Le secrêt s'évente trés vite d'autant plus que la trame du film emprunte considérablement à l'épisode du labyrinthe de Chapeau Melon & Bottes de Cuir, le vrai avec Emma Peel. Et quand le film tente de jouer la carte de la psychologie, on crie au secours.

Le film pourtant réussit un tour de force. Il arrive à communiquer la claustrophobie et l'effroi au spectateur qui, se sentant piegé, n'a plus qu'une seule obsession, s'évader de la salle au plus vite.

  Fred Thom




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